Tests carnets de route

Nous voilà repartis en Familles et en marche, ce mercredi 18 mai 2022 : 26 participants pour la 26ème sortie ! Et 9 encadrants. Direction Le Cousson ; on était tous prévenus : « direction » seulement, pas sûrs d’y arriver, car risques d’orage. Départ 13 h 30, la présence d’adolescents nous empêchant de partir le matin. Mais quelle joie de voir marcher ces ado !! Et très bien marcher, même !

Un garçon d’environ 6 ans, qui galopera à la montée comme à la descente, est surpris que l’on parte à pied.

Un jeune de Centre-Afrique : « Qu’est-ce que c’est, ces traits rouge et blanc sur l’arbre ? » Un encadrant explique le principe du GR. Une participante : « C’est mon drapeau. Je viens de Pologne. »

Aux Hautes-Bâties, on fait le plein d’eau et d’énergie, on observe les bébés salamandres dans le bassin. Repartir est un peu difficile, mais ça y est, on est en route, le dynamisme revient. Une dame qui peine un peu dans la montée et que ses habits entravent, me demande alors : « Est-ce que c’est là où on va ? » « Oui, le Cousson, c’est cette montagne, là-bas, c’est notre but » ; je rajoute : « Et là, de l’autre côté, c’est le problème » en désignant les nuages qui grossissent. « C’est pas grave, orage ou pas, on y va !!! » Sa réponse m’enthousiasme ; quelle force ! Une fois le principe de réalité digéré (il nous faut redescendre peu après les Hautes Bâties car le ciel devient aussi magnifique que menaçant) nous convenons elle et moi qu’à l’automne nous remettrons Le Cousson au programme !

Même mouillé, le groupe reste joyeux et motivé ! Prochaine étape pour certains d’entre eux : le refuge de l’Estrop, les 2 & 3 juillet !

Nous voilà repartis en Familles et en marche, ce mercredi 18 mai 2022 : 26 participants pour la 26ème sortie ! Et 9 encadrants. Direction Le Cousson ; on était tous prévenus : « direction » seulement, pas sûrs d’y arriver, car risques d’orage. Départ 13 h 30, la présence d’adolescents nous empêchant de partir le matin. Mais quelle joie de voir marcher ces ado !! Et très bien marcher, même !

Un garçon d’environ 6 ans, qui galopera à la montée comme à la descente, est surpris que l’on parte à pied.

Un jeune de Centre-Afrique : « Qu’est-ce que c’est, ces traits rouge et blanc sur l’arbre ? » Un encadrant explique le principe du GR. Une participante : « C’est mon drapeau. Je viens de Pologne. »

Aux Hautes-Bâties, on fait le plein d’eau et d’énergie, on observe les bébés salamandres dans le bassin. Repartir est un peu difficile, mais ça y est, on est en route, le dynamisme revient. Une dame qui peine un peu dans la montée et que ses habits entravent, me demande alors : « Est-ce que c’est là où on va ? » « Oui, le Cousson, c’est cette montagne, là-bas, c’est notre but » ; je rajoute : « Et là, de l’autre côté, c’est le problème » en désignant les nuages qui grossissent. « C’est pas grave, orage ou pas, on y va !!! » Sa réponse m’enthousiasme ; quelle force ! Une fois le principe de réalité digéré (il nous faut redescendre peu après les Hautes Bâties car le ciel devient aussi magnifique que menaçant) nous convenons elle et moi qu’à l’automne nous remettrons Le Cousson au programme !

Même mouillé, le groupe reste joyeux et motivé ! Prochaine étape pour certains d’entre eux : le refuge de l’Estrop, les 2 & 3 juillet !

Cinq jeunes de l’école d’aventure, accompagnés de 4 adultes, étaient à la via Ferrata de la Paturle à Orpierre le dimanche 15 mai 2022. Via Ferrata très récente ouverte en 2022, avec une tyrolienne, un pont népalais et un pont de singe. Belle ambiance au-dessus du village d’Orpierre. L’après-midi, les jeunes ont grimpé dans le secteur du Château, réalisant en tête des voies allant du 4c au 5c. L’exposition nord-est du secteur a permis de ne pas avoir trop chaud malgré les températures élevées. Belle journée réalisée grâce à la motivation et à la bonne humeur de tous. Laurine, Ambre et Tina et maman de Tina de Digne, Delphine.

Cinq jeunes de l’école d’aventure, accompagnés de 4 adultes, étaient à la via Ferrata de la Paturle à Orpierre le dimanche 15 mai 2022. Via Ferrata très récente ouverte en 2022, avec une tyrolienne, un pont népalais et un pont de singe. Belle ambiance au-dessus du village d’Orpierre. L’après-midi, les jeunes ont grimpé dans le secteur du Château, réalisant en tête des voies allant du 4c au 5c. L’exposition nord-est du secteur a permis de ne pas avoir trop chaud malgré les températures élevées. Belle journée réalisée grâce à la motivation et à la bonne humeur de tous. Laurine, Ambre et Tina et maman de Tina de Digne, Delphine.

Emmenés par Laurence nous étions 9 à affronter le géant qui domine Digne.

Chacun avait son idée sur l'itinéraire mais Laurence a finalement opté pour la classique montée depuis la dalle aux ammmonites puis Givaudan et le Darau le sommet nous accueillait à l'heure pour reprendre des forces pour la descente, le génépi finissait de nous réchauffer alorsque quelques blocons nous poussaient pour une descente  . Descent sans histoire à noveau le Darau puis une première remontée au Martignon, une seconde pour l'Andran  l'affaire semblait ficelée.

Hélas pour changer nos habitudes un petit sentier sur la carte nous offrait une variante pour gagner Champourcin.

Mauvais choix notre sentier etait une descente VTT ! et c'est litéralement sur les rotoles que certains ont eu la joie de rtrouver leur voiture.

Comme quoi on en décovre tous les jours

Emmenés par Laurence nous étions 9 à affronter le géant qui domine Digne.

Chacun avait son idée sur l'itinéraire mais Laurence a finalement opté pour la classique montée depuis la dalle aux ammmonites puis Givaudan et le Darau le sommet nous accueillait à l'heure pour reprendre des forces pour la descente, le génépi finissait de nous réchauffer alorsque quelques blocons nous poussaient pour une descente  . Descent sans histoire à noveau le Darau puis une première remontée au Martignon, une seconde pour l'Andran  l'affaire semblait ficelée.

Hélas pour changer nos habitudes un petit sentier sur la carte nous offrait une variante pour gagner Champourcin.

Mauvais choix notre sentier etait une descente VTT ! et c'est litéralement sur les rotoles que certains ont eu la joie de rtrouver leur voiture.

Comme quoi on en décovre tous les jours

Le Dimanche 20 Mars, sous la houlette de Françoise Brun et de Guy Chauvet, nous étions 12 à faire ce sommet. Montée dans un cirque au dessous de jolies barres rocheuses où nous avons vu des chamois. A mi pente nous avons trouvé la Bergerie de Crigne, bien réhabilitée, puis nous sommes arrivés au sommet après un passage un peu escarpé équipé de cordes. Rien de difficile et belle vue à 360°. Puis nous sommes passés au Nord en faisant une traversée vers l'Ouest où nous avons retrouvé la crête qui est la continuité de la barre de Crigne. Sous cette crête , coté Nord nous avons trouvé des Bulbocodes de printemps (Bulbocodium vernum), plante bulbeuse (et les sangliers ne se sont pas génés pour arracher et manger des bulbes). Famille des Liciacées comme le Colchique mais qui poussent au début du printemps. 6 feuilles engainantes, trés belle fleurs à 6 pétales violets vifs et 6 longues étamines. Nous sommes un peu rescendus coté sud où nous avons tranqillement mangé notre pique nique (en commençant par le traditionnel apéritif amené par Yves. Puis nous avons retrouvé la bergerie et repris le sentier commun avec celui de la montée. 750m de dénivelée et 13Km. Ciel voilé mais temps mieux car l'on urait en chaud en montant plein Sud.

Le Dimanche 20 Mars, sous la houlette de Françoise Brun et de Guy Chauvet, nous étions 12 à faire ce sommet. Montée dans un cirque au dessous de jolies barres rocheuses où nous avons vu des chamois. A mi pente nous avons trouvé la Bergerie de Crigne, bien réhabilitée, puis nous sommes arrivés au sommet après un passage un peu escarpé équipé de cordes. Rien de difficile et belle vue à 360°. Puis nous sommes passés au Nord en faisant une traversée vers l'Ouest où nous avons retrouvé la crête qui est la continuité de la barre de Crigne. Sous cette crête , coté Nord nous avons trouvé des Bulbocodes de printemps (Bulbocodium vernum), plante bulbeuse (et les sangliers ne se sont pas génés pour arracher et manger des bulbes). Famille des Liciacées comme le Colchique mais qui poussent au début du printemps. 6 feuilles engainantes, trés belle fleurs à 6 pétales violets vifs et 6 longues étamines. Nous sommes un peu rescendus coté sud où nous avons tranqillement mangé notre pique nique (en commençant par le traditionnel apéritif amené par Yves. Puis nous avons retrouvé la bergerie et repris le sentier commun avec celui de la montée. 750m de dénivelée et 13Km. Ciel voilé mais temps mieux car l'on urait en chaud en montant plein Sud.

Nous voici parti le Mercredi 16 février vers 19heures de la place du Tampinet sous la houlette de Bernard. Montée à la forêt du Saumon par le sentier de Caramnran, redescente et montée à Courbons puis à la Baisse des Chatiéres avec un arrêt bien sùr pour manger une petite soupe chaude ou autre chaude). Redescente par un autre sentier arrivant au dessus de l'ancien hôpial de Digne. Retour vers 11h30 et oui, 800m de dénivelée et 10Km.  Mais la lune était avec nous, sinon on baissait le pantalon..!!!

Nous voici parti le Mercredi 16 février vers 19heures de la place du Tampinet sous la houlette de Bernard. Montée à la forêt du Saumon par le sentier de Caramnran, redescente et montée à Courbons puis à la Baisse des Chatiéres avec un arrêt bien sùr pour manger une petite soupe chaude ou autre chaude). Redescente par un autre sentier arrivant au dessus de l'ancien hôpial de Digne. Retour vers 11h30 et oui, 800m de dénivelée et 10Km.  Mais la lune était avec nous, sinon on baissait le pantalon..!!!

Du 11 au 14 février 2022, Delphine, Laurence, Geneviève,  Jean Louis et Matthieu ont suivi un stage d’initiation à la cascade de glace encadré par Francis Blaison. Samedi 12 février le départ est donné à 8 h depuis Saint-Christophe-en-Oisan direction Villard–Reymond, petit hameau niché au fond d’un vallon au-dessus de Bourg-d’Oisan.

L’approche de 30 mn est déjà un petit périple à elle toute seule. Le fond du vallon se gagne à l’aide des crampons et de mains courantes sur une trentaine de mètres. A l’arrivée la récompense est là ! Non seulement nous n’avions plus du tout froid mais en plus nous nous retrouvons dans une nature sauvage figée par la glace. D’imposantes cascades bleutées d’une trentaine de mètres de hauteur s’offrent à nos regards au pied d’un surplomb imposant. Nous nous installons sur la cascade nommée « Phisalie », Francis équipe deux longueurs en tête. Nous nous élançons ensuite, à tour de rôle en moulinette piolets à la main et crampons aux pieds. Sur la journée, nous avons tous fait au moins 3 ou 4 longueurs voir plus pour les plus motivés.

Le lendemain après concertation, nous retournons à Villard-Reymond dans le même secteur mais sur une cascade plus difficile, « Miroir, mon beau miroir ». Le secteur est riche en possibilités et moyennement fréquenté. Les plus audacieux testeront la mise en place de broches pendant leur ascension. Nous apprenons également la technique du relai dite d’Abalakov, système d’ancrage de fortune permettant de redescendre sans laisser de broches dans la cascade. Après cette journée bien remplie, un hammam bien chaud nous attendait à la Cordée pour faire disparaître nos courbatures.

Le lundi 14 février la météo ne nous a pas permis de pratiquer. Francis nous a proposé une randonnée en raquette à la place. Joli circuit d’une dizaine de kilomètres dans la vallée du Vénéon en amont de Saint-Christophe-en-Oisan. Après quelques conseils techniques, la pratique de la cascade de glace est plus accessible qu’il n’y paraît. Bien que cette discipline requière une bonne condition physique et les bases de l’escalade (encordement, assurage…) c’est avant tout le mental qui est mis à l’épreuve. C’est un véritable dépassement de soi. La cascade de glace est une belle expérience, nous la renouvellerons l’an prochain.

Les 4 photos : La marche d’approche ; Francis en train d’équiper « Miroir mon beau miroir » ; Premiers pas en moulinette sur « Phisalie » ; Descente en moulinette sur « Miroir mon beau miroir »

Du 11 au 14 février 2022, Delphine, Laurence, Geneviève,  Jean Louis et Matthieu ont suivi un stage d’initiation à la cascade de glace encadré par Francis Blaison. Samedi 12 février le départ est donné à 8 h depuis Saint-Christophe-en-Oisan direction Villard–Reymond, petit hameau niché au fond d’un vallon au-dessus de Bourg-d’Oisan.

L’approche de 30 mn est déjà un petit périple à elle toute seule. Le fond du vallon se gagne à l’aide des crampons et de mains courantes sur une trentaine de mètres. A l’arrivée la récompense est là ! Non seulement nous n’avions plus du tout froid mais en plus nous nous retrouvons dans une nature sauvage figée par la glace. D’imposantes cascades bleutées d’une trentaine de mètres de hauteur s’offrent à nos regards au pied d’un surplomb imposant. Nous nous installons sur la cascade nommée « Phisalie », Francis équipe deux longueurs en tête. Nous nous élançons ensuite, à tour de rôle en moulinette piolets à la main et crampons aux pieds. Sur la journée, nous avons tous fait au moins 3 ou 4 longueurs voir plus pour les plus motivés.

Le lendemain après concertation, nous retournons à Villard-Reymond dans le même secteur mais sur une cascade plus difficile, « Miroir, mon beau miroir ». Le secteur est riche en possibilités et moyennement fréquenté. Les plus audacieux testeront la mise en place de broches pendant leur ascension. Nous apprenons également la technique du relai dite d’Abalakov, système d’ancrage de fortune permettant de redescendre sans laisser de broches dans la cascade. Après cette journée bien remplie, un hammam bien chaud nous attendait à la Cordée pour faire disparaître nos courbatures.

Le lundi 14 février la météo ne nous a pas permis de pratiquer. Francis nous a proposé une randonnée en raquette à la place. Joli circuit d’une dizaine de kilomètres dans la vallée du Vénéon en amont de Saint-Christophe-en-Oisan. Après quelques conseils techniques, la pratique de la cascade de glace est plus accessible qu’il n’y paraît. Bien que cette discipline requière une bonne condition physique et les bases de l’escalade (encordement, assurage…) c’est avant tout le mental qui est mis à l’épreuve. C’est un véritable dépassement de soi. La cascade de glace est une belle expérience, nous la renouvellerons l’an prochain.

Les 4 photos : La marche d’approche ; Francis en train d’équiper « Miroir mon beau miroir » ; Premiers pas en moulinette sur « Phisalie » ; Descente en moulinette sur « Miroir mon beau miroir »

Partis raquettes sur le dos , nous avons trouvé la neige fraîche de la nuit , puis une poudreuse généreuse dans un paysage vierge.

Partis raquettes sur le dos , nous avons trouvé la neige fraîche de la nuit , puis une poudreuse généreuse dans un paysage vierge.

Emmené par Nicole nous sommes retrouvés à 9h30 samedi matin à la Station de Lure.Nous sommes partis à l'Est en empruntant le GR de Pays du tour de la Montagne de Lure et en passant sous le Sommet de Lure (1828m) puis au Pas de La Graille (où nous avons un peu "graillé")  pour arriver au Cairn 2000 ((1594m). Cairne de + de 3m de haut construit en piérres séches pour célébrer l'an 2000.Pique nique bien mérité avec une mise en bouche concoctée par Nicole (petite brouillade de truffe de chez elle) quel régal !!! Retour par le sommet de Lure. Trés bon acceuil au Gîte de Lure tenu par Daniel et Marie Thérése et exellent repas. Petite soirée d'Astromie animée par 2 spécialistes de l'Association d'Astronomie de Lure (il ne faisai pas rés chaud mais on était dans "les étoiles" et pas "dans la lune". Dimanche nous partons vers l'Ouest, Sommet de l'Homme (et oui nous étions seulement 6 hommes et 8 femmes), descente sur la Baisse de Malcor et retour par la crête dominant la croupe du Nid de l'Aigle puis par celle du Pré du Faou (Faou = hêtre en provençal). Et oui nous avons quand même parcouru en 2 jours 33Km et 1700m de dénivelée (çà monte et çà descend..!!!). A 2 endroit les chamois étaient au rendez vous, 13 le samedi et 2 le dimanche à 50m). Tré belle vue sur les sommets du Vercors, du Dévoluy,des Ecrins, duChamsaur, de la vallée de la Blanche et de l'Ubaye.     Excellent WE avec le Maître mot "Convivialité".

Emmené par Nicole nous sommes retrouvés à 9h30 samedi matin à la Station de Lure.Nous sommes partis à l'Est en empruntant le GR de Pays du tour de la Montagne de Lure et en passant sous le Sommet de Lure (1828m) puis au Pas de La Graille (où nous avons un peu "graillé")  pour arriver au Cairn 2000 ((1594m). Cairne de + de 3m de haut construit en piérres séches pour célébrer l'an 2000.Pique nique bien mérité avec une mise en bouche concoctée par Nicole (petite brouillade de truffe de chez elle) quel régal !!! Retour par le sommet de Lure. Trés bon acceuil au Gîte de Lure tenu par Daniel et Marie Thérése et exellent repas. Petite soirée d'Astromie animée par 2 spécialistes de l'Association d'Astronomie de Lure (il ne faisai pas rés chaud mais on était dans "les étoiles" et pas "dans la lune". Dimanche nous partons vers l'Ouest, Sommet de l'Homme (et oui nous étions seulement 6 hommes et 8 femmes), descente sur la Baisse de Malcor et retour par la crête dominant la croupe du Nid de l'Aigle puis par celle du Pré du Faou (Faou = hêtre en provençal). Et oui nous avons quand même parcouru en 2 jours 33Km et 1700m de dénivelée (çà monte et çà descend..!!!). A 2 endroit les chamois étaient au rendez vous, 13 le samedi et 2 le dimanche à 50m). Tré belle vue sur les sommets du Vercors, du Dévoluy,des Ecrins, duChamsaur, de la vallée de la Blanche et de l'Ubaye.     Excellent WE avec le Maître mot "Convivialité".

Sous un beau soleil et de fortes rafales nous étions 8 au départ de Blieux pour cette rando où les raquettes sont restées dans le sac. Ce parcours de 12km et 950 mètres de dénivelé nous a offert un superbe panorama sur les sommets et sur le lac de Ste Croix.

Après avoir suivi le chemin balisé, nous l'avons quitté pour monter sur la crête du Chiran en passant par le vallon du Ruth. Après un pique nique au sommet (observatoire astronomique avec hébergements), nous sommes redescendus par le portail de Blieux.

De retour aux voitures un goûter convivial a été organisé.

Sous un beau soleil et de fortes rafales nous étions 8 au départ de Blieux pour cette rando où les raquettes sont restées dans le sac. Ce parcours de 12km et 950 mètres de dénivelé nous a offert un superbe panorama sur les sommets et sur le lac de Ste Croix.

Après avoir suivi le chemin balisé, nous l'avons quitté pour monter sur la crête du Chiran en passant par le vallon du Ruth. Après un pique nique au sommet (observatoire astronomique avec hébergements), nous sommes redescendus par le portail de Blieux.

De retour aux voitures un goûter convivial a été organisé.

09h15, départ a 1km du Vernet sur la piste du col Mariaud.malgré le peu de neige nous avons pu quitter les voitures raquettes aux pieds. Montée en trace directe vers le sommet, pente douce au depart puis se redressant au fur et a mesure de l'ascention. Les 100 derniers m etant sans neige nous avons pu dejeuner sur l'herbe sous un soleil radieux. Joli panorama sur les sommets  environants, jusqu'au vieux Chaillol. Descente un peu raide vers la crete des Beliers pour rejoindre le col Mariaud et retour au voiture par la piste.

09h15, départ a 1km du Vernet sur la piste du col Mariaud.malgré le peu de neige nous avons pu quitter les voitures raquettes aux pieds. Montée en trace directe vers le sommet, pente douce au depart puis se redressant au fur et a mesure de l'ascention. Les 100 derniers m etant sans neige nous avons pu dejeuner sur l'herbe sous un soleil radieux. Joli panorama sur les sommets  environants, jusqu'au vieux Chaillol. Descente un peu raide vers la crete des Beliers pour rejoindre le col Mariaud et retour au voiture par la piste.