Tests carnets de route
  Hier il pleuvait, et aujourd’hui grand soleil, comme pour fêter le courage de nos 20 participants à la sortie « Familles en marche ». Car destination ambitieuse, que nous avons revue à la « baïsse » : initialement prévus chemin de Caguerenard-Baïsse de Chatières-retour par le ravin de Chatusse, donc Courbons, nous avons écourté, cause fatigue (manque de petit déjeuner pour certains, d’entraînement pour d’autres...).
  550 mètres de dénivelé tout de même, pour leur faire découvrir la vue depuis la Baïsse de Chatières : les paysages enneigés (Barre de coupe, Blayeul, Dos de Chameau...) fascinent tous ces habitants de Digne, venus cette fois de divers quartiers : Augiers, Pigeonnier, Centre ville, et... Congo !
  
  Notre descente nous fait côtoyer des moutons placides et un patou apathique, qualités nécessaires pour résister à l’enthousiasme des enfants.
  
  Un garçon, parfois agaçant par sa propension à garder sa cagoule comme pour mieux frôler les limites, a spontanément dit à une participante, d’allure peu sportive et qui venait comme les autres de courir (mais tomber) dans une pente raide : « Tu as été très courageuse. » Moins agaçant, du coup. C’est ce même garçon qui ramassera au bord du chemin un gros morceau de polystyrène qu’il s’empresse de tenir façon
  mitraillette : Laurence et moi nous précipitons, peace, love & écologie : démontons son arme en morceaux, castratrices, pour les faire entrer dans le sac poubelle que nous venons de dégainer, avec forces propos écologiques. Le garçon continue à marcher, nous nous contentons de son indifférence (il ne nous aide pas à remplir le sac, mais ne s’oppose pas au retrait de son arme). Je continue aussi à marcher, tenant le sac poubelle façon sac à main. 1 h plus tard, il me cherche, me demande le sac poubelle... pour y mettre un autre morceau de plastique ; en forme de rien, si ce n’est de déchet laissé par les adultes, ce qu’il trouvait anormal.
C’est sur le chemin de caguerenard (justement !) que j’ai entendu la phrase la plus rigolote du jour : alors que je viens de marcher à côté d’un excrément animal, j’entends derrière moi : « Tiens ? Une crotte que je ne connais pas. » !?? « Oui, je connais la mienne, mais celle-là est marron clair... » Décidément, la culture sait se loger dans tous les interstices.
 Menu haut site > Activités activites > Toute l'année toute-l-annee > Randonnée randonnee
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  Hier il pleuvait, et aujourd’hui grand soleil, comme pour fêter le courage de nos 20 participants à la sortie « Familles en marche ». Car destination ambitieuse, que nous avons revue à la « baïsse » : initialement prévus chemin de Caguerenard-Baïsse de Chatières-retour par le ravin de Chatusse, donc Courbons, nous avons écourté, cause fatigue (manque de petit déjeuner pour certains, d’entraînement pour d’autres...).
  550 mètres de dénivelé tout de même, pour leur faire découvrir la vue depuis la Baïsse de Chatières : les paysages enneigés (Barre de coupe, Blayeul, Dos de Chameau...) fascinent tous ces habitants de Digne, venus cette fois de divers quartiers : Augiers, Pigeonnier, Centre ville, et... Congo !
  
  Notre descente nous fait côtoyer des moutons placides et un patou apathique, qualités nécessaires pour résister à l’enthousiasme des enfants.
  
  Un garçon, parfois agaçant par sa propension à garder sa cagoule comme pour mieux frôler les limites, a spontanément dit à une participante, d’allure peu sportive et qui venait comme les autres de courir (mais tomber) dans une pente raide : « Tu as été très courageuse. » Moins agaçant, du coup. C’est ce même garçon qui ramassera au bord du chemin un gros morceau de polystyrène qu’il s’empresse de tenir façon
  mitraillette : Laurence et moi nous précipitons, peace, love & écologie : démontons son arme en morceaux, castratrices, pour les faire entrer dans le sac poubelle que nous venons de dégainer, avec forces propos écologiques. Le garçon continue à marcher, nous nous contentons de son indifférence (il ne nous aide pas à remplir le sac, mais ne s’oppose pas au retrait de son arme). Je continue aussi à marcher, tenant le sac poubelle façon sac à main. 1 h plus tard, il me cherche, me demande le sac poubelle... pour y mettre un autre morceau de plastique ; en forme de rien, si ce n’est de déchet laissé par les adultes, ce qu’il trouvait anormal.
C’est sur le chemin de caguerenard (justement !) que j’ai entendu la phrase la plus rigolote du jour : alors que je viens de marcher à côté d’un excrément animal, j’entends derrière moi : « Tiens ? Une crotte que je ne connais pas. » !?? « Oui, je connais la mienne, mais celle-là est marron clair... » Décidément, la culture sait se loger dans tous les interstices.
 
Caguerenard et chante la joie
Hier il pleuvait, et aujourd’hui grand soleil, comme pour fêter le courage de nos 20 participants à la sortie « Familles en marche ». Car destination ambitieuse, que nous avons revue à la « baïsse » : initialement prévus chemin de Caguerenard-Baïsse de Chatières-retour par le ravin de Chatusse, donc Courbons, nous avons écourté, cause fatigue (manque de petit déjeuner pour certains, d’entraînement pour d’autres…). 550 mètres de dénivelé tout de même, pour leur faire découvrir la vue depuis la Baïsse de Chatières : les paysages enneigés (Barre de coupe, Blayeul, Dos de Chameau…) fascinent tous ces habitants de Digne, venus cette fois de divers quartiers : Augiers, Pigeonnier, Centre ville, et… Congo !
Notre descente nous fait côtoyer des moutons placides et un patou apathique, qualités nécessaires pour résister à l’enthousiasme des enfants.
Un garçon, parfois agaçant par sa propension à garder sa cagoule comme pour mieux frôler les limites, a spontanément dit à une participante, d’allure peu sportive et qui venait comme les autres de courir (mais tomber) dans une pente raide : « Tu as été très courageuse. » Moins agaçant, du coup. C’est ce même garçon qui ramassera au bord du chemin un gros morceau de polystyrène qu’il s’empresse de tenir façon mitraillette : Laurence et moi nous précipitons, peace, love & écologie : démontons son arme en morceaux, castratrices, pour les faire entrer dans le sac poubelle que nous venons de dégainer, avec forces propos écologiques. Le garçon continue à marcher, nous nous contentons de son indifférence (il ne nous aide pas à remplir le sac, mais ne s’oppose pas au retrait de son arme). Je continue aussi à marcher, tenant le sac poubelle façon sac à main. 1 h plus tard, il me cherche, me demande le sac poubelle… pour y mettre un autre morceau de plastique ; en forme de rien, si ce n’est de déchet laissé par les adultes, ce qu’il trouvait anormal.
C’est sur le chemin de caguerenard (justement !) que j’ai entendu la phrase la plus rigolote du jour : alors que je viens de marcher à côté d’un excrément animal, j’entends derrière moi : « Tiens ? Une crotte que je ne connais pas. » !?? « Oui, je connais la mienne, mais celle-là est marron clair... » Décidément, la culture sait se loger dans tous les interstices.
Françoise, 4 mars 2024
Caguerenard et chante la joie
Hier il pleuvait, et aujourd’hui grand soleil, comme pour fêter le courage de nos 20 participants à la sortie « Familles en marche ». Car destination ambitieuse, que nous avons revue à la « baïsse » : initialement prévus chemin de Caguerenard-Baïsse de Chatières-retour par le ravin de Chatusse, donc Courbons, nous avons écourté, cause fatigue (manque de petit déjeuner pour certains, d’entraînement pour d’autres…). 550 mètres de dénivelé tout de même, pour leur faire découvrir la vue depuis la Baïsse de Chatières : les paysages enneigés (Barre de coupe, Blayeul, Dos de Chameau…) fascinent tous ces habitants de Digne, venus cette fois de divers quartiers : Augiers, Pigeonnier, Centre ville, et… Congo !
Notre descente nous fait côtoyer des moutons placides et un patou apathique, qualités nécessaires pour résister à l’enthousiasme des enfants.
Un garçon, parfois agaçant par sa propension à garder sa cagoule comme pour mieux frôler les limites, a spontanément dit à une participante, d’allure peu sportive et qui venait comme les autres de courir (mais tomber) dans une pente raide : « Tu as été très courageuse. » Moins agaçant, du coup. C’est ce même garçon qui ramassera au bord du chemin un gros morceau de polystyrène qu’il s’empresse de tenir façon mitraillette : Laurence et moi nous précipitons, peace, love & écologie : démontons son arme en morceaux, castratrices, pour les faire entrer dans le sac poubelle que nous venons de dégainer, avec forces propos écologiques. Le garçon continue à marcher, nous nous contentons de son indifférence (il ne nous aide pas à remplir le sac, mais ne s’oppose pas au retrait de son arme). Je continue aussi à marcher, tenant le sac poubelle façon sac à main. 1 h plus tard, il me cherche, me demande le sac poubelle… pour y mettre un autre morceau de plastique ; en forme de rien, si ce n’est de déchet laissé par les adultes, ce qu’il trouvait anormal.
C’est sur le chemin de caguerenard (justement !) que j’ai entendu la phrase la plus rigolote du jour : alors que je viens de marcher à côté d’un excrément animal, j’entends derrière moi : « Tiens ? Une crotte que je ne connais pas. » !?? « Oui, je connais la mienne, mais celle-là est marron clair... » Décidément, la culture sait se loger dans tous les interstices.
Françoise, 4 mars 2024
 
Rassemblement Jeunes Larche 2024.
Les jeunes de l’école d’aventure Digne Barcelonnette ont participé au rassemblement jeunes organisé par le Comité Régional CAF PACA à Larche du 24 au 27 février 2024.
39 jeunes âgés de 8 à 18 ans venant des clubs de Briançon, Marseille, Guillestre et Digne-Barcelonnette ont découvert et perfectionné les activités montagne, ski de fond, ski de rando, ski de piste et hors-piste, rando luge.
L’activité cascade de glace a dû être annulée par manque de glace.
La soirée du dimanche a été animée par Stéphane, garde au Parc National du Mercantour, sensibilisant le jeune public sur l’impact que peut avoir notre pratique hivernale de la montagne sur la faune fragilisée par le froid et le manque de nourriture.
Quatre journées bien remplies d’activités partagées et de rencontres, jeunes et adultes.
Un grand merci aux bénévoles Ubayens venus accompagner les jeunes à la journée, leur aide est précieuse,
 
 
Rassemblement Jeunes Larche 2024.
Les jeunes de l’école d’aventure Digne Barcelonnette ont participé au rassemblement jeunes organisé par le Comité Régional CAF PACA à Larche du 24 au 27 février 2024.
39 jeunes âgés de 8 à 18 ans venant des clubs de Briançon, Marseille, Guillestre et Digne-Barcelonnette ont découvert et perfectionné les activités montagne, ski de fond, ski de rando, ski de piste et hors-piste, rando luge.
L’activité cascade de glace a dû être annulée par manque de glace.
La soirée du dimanche a été animée par Stéphane, garde au Parc National du Mercantour, sensibilisant le jeune public sur l’impact que peut avoir notre pratique hivernale de la montagne sur la faune fragilisée par le froid et le manque de nourriture.
Quatre journées bien remplies d’activités partagées et de rencontres, jeunes et adultes.
Un grand merci aux bénévoles Ubayens venus accompagner les jeunes à la journée, leur aide est précieuse,
Aprés avoir traversée un belle passerelle en bois enjambant "la Blanche" et une montée en lacets nous arrivons à la cabane des Mulets (1710m) au pied du pâturage de la Grande Montagne où reste le berger gardant 200 vaches environ pendant 3 mois (et pas les mules et mulets..!!!). Nous continuons plein Est en passant par les sources de la Blanche qui passe à Seyne les Alpes puis Selonnet et qui va passer au pied du barrage de Serre Ponçon à Espinasse.Au niveau de ses sources il y a des morceaux de troncs de Mélèzes creusés où les berger mettent su sel pour les vaches (on les appellent des "assalis" en provencal). Il faut noter que ces mélèzea , mis à nu par l'érosion, ont poussé pendant 500 ans il y a 5000 ans, et oui, ce sont des arbres subfossilifères. C'est là que nous mettons les Raquettes (vers l'altitude 1800m) et nous continuons toujours plein Estau bas de Roche Close puis traversée plein Sud pour finir Sud Est rejoindre un petit mamelon où il y a une belle petite crois en fer, peinte en noir, on est arrivé à "Pié Gros" (2200m environ) De là il faudrait encore 1h30 pour arriver au Col des Têtes Casse croûte aprés apéro avec vin d'Orange (et non "Oran"...) emmené par Yves, Fromage de tête partagé de Bernard0..etc.., trés bon chocolat de Marie. Et oui cela mérite une bonne siéste avant de repartir plein Ouest pour rejoindre un sentier traversanr sour Tourtourel. Descente sous les mélézes et les sapins où notre "guide" s'égare un peu (et oui il observe un trop les "troncs" et sa note sur 10 baisse de 3 points...normal), traversée montante pour rejoindre la cabane des Mulets et retour par le même sentier. 750m de dénivelée et 8Km selon les expetrs GPS. Merci à Marie, Solange, Patricia, Marie Agnés, Yves, Rémy et Samir d'avoir bien voulu m'accompagner par cette belle journée ensoleillée.
 Menu haut site > Activités activites > L'hiver activites-hivernales > Raquettes raquette
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Aprés avoir traversée un belle passerelle en bois enjambant "la Blanche" et une montée en lacets nous arrivons à la cabane des Mulets (1710m) au pied du pâturage de la Grande Montagne où reste le berger gardant 200 vaches environ pendant 3 mois (et pas les mules et mulets..!!!). Nous continuons plein Est en passant par les sources de la Blanche qui passe à Seyne les Alpes puis Selonnet et qui va passer au pied du barrage de Serre Ponçon à Espinasse.Au niveau de ses sources il y a des morceaux de troncs de Mélèzes creusés où les berger mettent su sel pour les vaches (on les appellent des "assalis" en provencal). Il faut noter que ces mélèzea , mis à nu par l'érosion, ont poussé pendant 500 ans il y a 5000 ans, et oui, ce sont des arbres subfossilifères. C'est là que nous mettons les Raquettes (vers l'altitude 1800m) et nous continuons toujours plein Estau bas de Roche Close puis traversée plein Sud pour finir Sud Est rejoindre un petit mamelon où il y a une belle petite crois en fer, peinte en noir, on est arrivé à "Pié Gros" (2200m environ) De là il faudrait encore 1h30 pour arriver au Col des Têtes Casse croûte aprés apéro avec vin d'Orange (et non "Oran"...) emmené par Yves, Fromage de tête partagé de Bernard0..etc.., trés bon chocolat de Marie. Et oui cela mérite une bonne siéste avant de repartir plein Ouest pour rejoindre un sentier traversanr sour Tourtourel. Descente sous les mélézes et les sapins où notre "guide" s'égare un peu (et oui il observe un trop les "troncs" et sa note sur 10 baisse de 3 points...normal), traversée montante pour rejoindre la cabane des Mulets et retour par le même sentier. 750m de dénivelée et 8Km selon les expetrs GPS. Merci à Marie, Solange, Patricia, Marie Agnés, Yves, Rémy et Samir d'avoir bien voulu m'accompagner par cette belle journée ensoleillée.
 
Sortie initiation découverte ski de rando le dimanche 14 janvier 2024 pour 4 jeunes de l’école d’aventure DIGNE Ubaye, accompagnés d’adultes, jeunes et moins jeunes, bel exemple de partage et de transmission.
L’enneigement s’est nettement amélioré et nous allons faire l’Enclause, au départ du Col de Larche. Très bonnes conditions de neige, « tout poudre », rien de tel pour apprécier et découvrir le ski toutes neiges.
 
 
Sortie initiation découverte ski de rando le dimanche 14 janvier 2024 pour 4 jeunes de l’école d’aventure DIGNE Ubaye, accompagnés d’adultes, jeunes et moins jeunes, bel exemple de partage et de transmission.
L’enneigement s’est nettement amélioré et nous allons faire l’Enclause, au départ du Col de Larche. Très bonnes conditions de neige, « tout poudre », rien de tel pour apprécier et découvrir le ski toutes neiges.
 
06/01/2024 WE sécurité: 1 Neige Avalanches + 1 j sortie
Nous étions 14 à participer à ce weekend raquettes initiation/piqûre de rappel sécurité avalanche à Larche les 6 et 7 janvier 2024.
Samedi 6/01 - Dès arrivés à Larche, deux groupes ont été formés, l’un mené par Philippe et Bernard (groupe initié) l’autre par Laurence (groupe formation initiale) pour réaliser les exercices d’organisation des secours avalanche et utilisation DVA, sonde et pelle.
Si la faible quantité de neige n’a pas permis d’effectuer du sondage et du pelletage profond, elle était cependant suffisante pour se familiariser/revoir l’utilisation du matériel de sécurité, les notions élémentaires de nivologie et la réalisation de nombreux exercices correspondant aux différentes situations potentiellement rencontrées lors d’une sortie raquettes à neige en terrain à risque d’avalanche : organisation de la recherche une seule victime, multi-victimes, un seul secouriste, plusieurs secouristes, repérage d’indices de surface, l’appel des secours dans zone de couverture et hors zone réseau, etc..
Hélas, l’exercice de communication avec le PGHM, a été contrarié par le dysfonctionnement de la radio VHF.
Ces exercices sur le terrain, et une fois les deux groupes installés au gite Le Refuge, ont été complétés par une présentation théorique présentée par Laurence. Celle-ci a été sérieusement perturbée par la présence d’un groupe d’un autre CAF présent au refuge, dont les membres semblaient faire un concours de celui qui parlerait le plus fort, rendant difficile, voire impossible d’entendre ce que Laurence avait à nous dire sur le processus de transformation et de stabilisation du manteau neigeux, les différentes structures de la neige, les différents types d’avalanches, l’influence de la température sur ce processus, de l’exposition des versants, de l’inclinaison des pentes, du rôle du vent comme architecte d’avalanches, de la quantité des précipitations, de la conduite à tenir face à un avalanché, etc…
Le repas s’est déroulé dans une ambiance toute aussi bruyante, le niveau sonore produit par le groupe de l’autre CAF atteignant par moment la limite du seuil du réflexe stapédien ! L’excellente qualité du repas préparé par Camille a cependant quelque peu compensé cela, mais les conditions étaient tout aussi défavorables pour la préparation collective et participative de la sortie du lendemain après le repas. (Lecture et interprétation du BRA, analyse du bulletin météo, choix de l’itinéraire et initiation à la méthode du 3X3 de Munter et à la CSV de Paulo Groebel, identification des risques, des passages clés, des niveaux de vigilance, mesures de réduction des risques, utilisation de la carte des pentes, des applications Yeti et Skitourenguru…)
Pour continuer dans le même registre, au moment de dormir, la sérénité du groupe n’a non seulement été perturbée par le bruit occasionné par les « djeuns » et moins « djeuns » de l’autre CAF (Bruit auquel Bernard a su néanmoins mettre un terme net en sortant en culote engueuler toute cette jolie compagnie fort impressionnée par cette irruption), mais aussi par une traitre au sein de notre propre groupe, qui au lieu de réviser dans le noir les notions fondamentales de « gradient de T° », « gobelet », «purge», etc., lisait à la frontale, empêchant par-là même certains de ronfler en paix, et, plus tard, a réveillé tout le groupe en ayant oublié d’éteindre son réveil réglé à 6h du matin alors qu’elle avait quitté le dortoir depuis belle lurette. Cette personne, dont nous tairons le nom par respect de la RGPD, a évidemment été immédiatement rajoutée à la liste noire du CAF de Digne, et comprenant sa faute, s’est auto-condamnée à rédiger le présent carnet de route pour se faire pardonner ses incivilités. Bref, c’est un groupe fatigué qui s’est réveillé le dimanche matin à Larche...
Dimanche 7/01 : Sortie encadrée par Laurence assistée par les autres encadrants du club : Sommet de l’Enclause (2712 m) – 9km, D+ 800 m, durée totale : 6h30mn.
  Trace :  
C’est par un temps mitigé faiblement neigeux que nous avons chaussé nos raquettes (et les skis pour Philippe) au parking du Col de Larche/ (Colle della Maddelena) à 8h30. Après le double test des DVA, nous avons entamé notre montée plein sud, coupant le GRP des Quatre Lacs/GRP la Frontière Fortifiée et traversant la zone marécageuse située au nord-ouest du Lago della Maddalena, sur une fine couche de neige sèche fraîchement tombée, légère en surface et gelée au contact du sol, avant de bifurquer sud-est pour cheminer loin des pentes de la Montagne de Prayer, laissant la Cime des Gorges et le Rouet sur notre droite.
Une première et brève pause vers 2100m a été mise à profit par Laurence pour nous faire observer des indices de transport de neige par le vent, illustrer un cas typique de manteau neigeux pas encore stabilisé (absence de cohésion entre la couche de neige « fraîche » et celle au sol « gelée ») et pour nous rappeler la technique de déplacement en dévers pour minimiser le risque de chute.
A environ 2150 m, nous avons bifurqué sud-ouest puis plein sud, pour monter hors des pentes supérieures à 30 ° sous le Rouet, mettant en pratique une des mesures de réduction du risque présentée par Laurence la veille, à savoir cheminer en respectant un espacement d’environ 15 à 20 mètres entre raquettistes.
Entre temps, le brouillard a commencé à s’inviter de la partie, réduisant la visibilité et la perception du relief, mais nous avons bénéficié du passage de plusieurs groupes de skieurs pour emprunter en partie leur trace.
Pour la dernière partie de la montée, le groupe s’est scindé en deux pour respecter le rythme de marche de tous, l’ensemble des participants se sont regroupés à l’abri du vent vers 2630 m tout près du sommet de l’Enclause. Quelques-uns sont montés jusqu’à la Croix malgré une visibilité nulle, histoire de pouvoir dire « j’y étais », évitant néanmoins de s’approcher trop près des corniques formées par le transport de neige dû au vent d’est.
Entre temps, Philippe en a profité pour dépeauter et se coordonner avec Laurence pour nous attendre après les passages clés de vigilance et de distanciation. Un choix très judicieux, puisqu’il nous aura servi de repère tout au long de cette première partie de la descente.
Vu le vent et la dégradation de la visibilité, nous n’avons pas chômé au sommet et avons très vite entrepris la redescente à notre tour, Françoise en tête et avec comme mesure de précaution additionnelle, de garder à vue le raquettiste devant et derrière nous.
La descente a été longue, avec une visibilité quasi nulle par moment, les ventres de certains criaient famine, quelques chutes de fatigue dans la poudreuse, une avarie de bâton, mais une neige fraîche très agréable sous les raquettes…Retour aux voitures vers 15h.
En fin de compte, une belle sortie, à refaire par jour de beau temps, et pour certains, avec de meilleures raquettes aux pieds.
Le picnic de midi a été mangé à l’heure du goûter dans un petit bar/resto après Larche, avant de nous séparer et de reprendre la route.
Merci à Laurence et à tous les organisateurs/encadrants de ce weekend sécurité avalanche !
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06/01/2024 WE sécurité: 1 Neige Avalanches + 1 j sortie
Nous étions 14 à participer à ce weekend raquettes initiation/piqûre de rappel sécurité avalanche à Larche les 6 et 7 janvier 2024.
Samedi 6/01 - Dès arrivés à Larche, deux groupes ont été formés, l’un mené par Philippe et Bernard (groupe initié) l’autre par Laurence (groupe formation initiale) pour réaliser les exercices d’organisation des secours avalanche et utilisation DVA, sonde et pelle.
Si la faible quantité de neige n’a pas permis d’effectuer du sondage et du pelletage profond, elle était cependant suffisante pour se familiariser/revoir l’utilisation du matériel de sécurité, les notions élémentaires de nivologie et la réalisation de nombreux exercices correspondant aux différentes situations potentiellement rencontrées lors d’une sortie raquettes à neige en terrain à risque d’avalanche : organisation de la recherche une seule victime, multi-victimes, un seul secouriste, plusieurs secouristes, repérage d’indices de surface, l’appel des secours dans zone de couverture et hors zone réseau, etc..
Hélas, l’exercice de communication avec le PGHM, a été contrarié par le dysfonctionnement de la radio VHF.
Ces exercices sur le terrain, et une fois les deux groupes installés au gite Le Refuge, ont été complétés par une présentation théorique présentée par Laurence. Celle-ci a été sérieusement perturbée par la présence d’un groupe d’un autre CAF présent au refuge, dont les membres semblaient faire un concours de celui qui parlerait le plus fort, rendant difficile, voire impossible d’entendre ce que Laurence avait à nous dire sur le processus de transformation et de stabilisation du manteau neigeux, les différentes structures de la neige, les différents types d’avalanches, l’influence de la température sur ce processus, de l’exposition des versants, de l’inclinaison des pentes, du rôle du vent comme architecte d’avalanches, de la quantité des précipitations, de la conduite à tenir face à un avalanché, etc…
Le repas s’est déroulé dans une ambiance toute aussi bruyante, le niveau sonore produit par le groupe de l’autre CAF atteignant par moment la limite du seuil du réflexe stapédien ! L’excellente qualité du repas préparé par Camille a cependant quelque peu compensé cela, mais les conditions étaient tout aussi défavorables pour la préparation collective et participative de la sortie du lendemain après le repas. (Lecture et interprétation du BRA, analyse du bulletin météo, choix de l’itinéraire et initiation à la méthode du 3X3 de Munter et à la CSV de Paulo Groebel, identification des risques, des passages clés, des niveaux de vigilance, mesures de réduction des risques, utilisation de la carte des pentes, des applications Yeti et Skitourenguru…)
Pour continuer dans le même registre, au moment de dormir, la sérénité du groupe n’a non seulement été perturbée par le bruit occasionné par les « djeuns » et moins « djeuns » de l’autre CAF (Bruit auquel Bernard a su néanmoins mettre un terme net en sortant en culote engueuler toute cette jolie compagnie fort impressionnée par cette irruption), mais aussi par une traitre au sein de notre propre groupe, qui au lieu de réviser dans le noir les notions fondamentales de « gradient de T° », « gobelet », «purge», etc., lisait à la frontale, empêchant par-là même certains de ronfler en paix, et, plus tard, a réveillé tout le groupe en ayant oublié d’éteindre son réveil réglé à 6h du matin alors qu’elle avait quitté le dortoir depuis belle lurette. Cette personne, dont nous tairons le nom par respect de la RGPD, a évidemment été immédiatement rajoutée à la liste noire du CAF de Digne, et comprenant sa faute, s’est auto-condamnée à rédiger le présent carnet de route pour se faire pardonner ses incivilités. Bref, c’est un groupe fatigué qui s’est réveillé le dimanche matin à Larche...
Dimanche 7/01 : Sortie encadrée par Laurence assistée par les autres encadrants du club : Sommet de l’Enclause (2712 m) – 9km, D+ 800 m, durée totale : 6h30mn.
  Trace :  
C’est par un temps mitigé faiblement neigeux que nous avons chaussé nos raquettes (et les skis pour Philippe) au parking du Col de Larche/ (Colle della Maddelena) à 8h30. Après le double test des DVA, nous avons entamé notre montée plein sud, coupant le GRP des Quatre Lacs/GRP la Frontière Fortifiée et traversant la zone marécageuse située au nord-ouest du Lago della Maddalena, sur une fine couche de neige sèche fraîchement tombée, légère en surface et gelée au contact du sol, avant de bifurquer sud-est pour cheminer loin des pentes de la Montagne de Prayer, laissant la Cime des Gorges et le Rouet sur notre droite.
Une première et brève pause vers 2100m a été mise à profit par Laurence pour nous faire observer des indices de transport de neige par le vent, illustrer un cas typique de manteau neigeux pas encore stabilisé (absence de cohésion entre la couche de neige « fraîche » et celle au sol « gelée ») et pour nous rappeler la technique de déplacement en dévers pour minimiser le risque de chute.
A environ 2150 m, nous avons bifurqué sud-ouest puis plein sud, pour monter hors des pentes supérieures à 30 ° sous le Rouet, mettant en pratique une des mesures de réduction du risque présentée par Laurence la veille, à savoir cheminer en respectant un espacement d’environ 15 à 20 mètres entre raquettistes.
Entre temps, le brouillard a commencé à s’inviter de la partie, réduisant la visibilité et la perception du relief, mais nous avons bénéficié du passage de plusieurs groupes de skieurs pour emprunter en partie leur trace.
Pour la dernière partie de la montée, le groupe s’est scindé en deux pour respecter le rythme de marche de tous, l’ensemble des participants se sont regroupés à l’abri du vent vers 2630 m tout près du sommet de l’Enclause. Quelques-uns sont montés jusqu’à la Croix malgré une visibilité nulle, histoire de pouvoir dire « j’y étais », évitant néanmoins de s’approcher trop près des corniques formées par le transport de neige dû au vent d’est.
Entre temps, Philippe en a profité pour dépeauter et se coordonner avec Laurence pour nous attendre après les passages clés de vigilance et de distanciation. Un choix très judicieux, puisqu’il nous aura servi de repère tout au long de cette première partie de la descente.
Vu le vent et la dégradation de la visibilité, nous n’avons pas chômé au sommet et avons très vite entrepris la redescente à notre tour, Françoise en tête et avec comme mesure de précaution additionnelle, de garder à vue le raquettiste devant et derrière nous.
La descente a été longue, avec une visibilité quasi nulle par moment, les ventres de certains criaient famine, quelques chutes de fatigue dans la poudreuse, une avarie de bâton, mais une neige fraîche très agréable sous les raquettes…Retour aux voitures vers 15h.
En fin de compte, une belle sortie, à refaire par jour de beau temps, et pour certains, avec de meilleures raquettes aux pieds.
Le picnic de midi a été mangé à l’heure du goûter dans un petit bar/resto après Larche, avant de nous séparer et de reprendre la route.
Merci à Laurence et à tous les organisateurs/encadrants de ce weekend sécurité avalanche !
 
Ecole d’aventure 2024.
Crachet 2919m
Première sortie ski de randonnée pour les jeunes de l’école d’aventure 2024.
11 personnes dont 7 jeunes, étaient présentes pour réaliser l’ascension du Sommet du Crachet à 2919m d’altitude en Ubaye dans le col de Vars. Découverte pour certains, perfectionnement pour d’autres, tous ont montré leur passion pour la montagne et le ski de randonnée. Un grand merci aux jeunes du Groupe Promotion qui ont accompagné les jeunes pour leur première sortie. La saison 2024 est lancée et nous laisse entrevoir de très belles sorties.
 
 
Ecole d’aventure 2024.
Crachet 2919m
Première sortie ski de randonnée pour les jeunes de l’école d’aventure 2024.
11 personnes dont 7 jeunes, étaient présentes pour réaliser l’ascension du Sommet du Crachet à 2919m d’altitude en Ubaye dans le col de Vars. Découverte pour certains, perfectionnement pour d’autres, tous ont montré leur passion pour la montagne et le ski de randonnée. Un grand merci aux jeunes du Groupe Promotion qui ont accompagné les jeunes pour leur première sortie. La saison 2024 est lancée et nous laisse entrevoir de très belles sorties.
 
Du 28 au 30 octobre 2023
Groupe Promotion 04 Weekend grande voie.
Weekend très bien réussi malgré une météo très défavorable. C’est ce que l’on appelle passer entre les averses.
Nuits souvent pluvieuses, mais météo satisfaisante dans la journée permettant de réaliser de beaux projets.
Samedi : escalade au Don de l’Aigle pour Elise, Lou, Fanny, Fabien, Stéphane, et Dominique, dans « Lunathine », « Le Don de l’Aigle », « Les Bonnes Résolutions ».
Dimanche : Free Tibet au départ du Chalet de la Maline pour Lou, Fanny, Elise, Fabien et Dominique. Rando pour Stéphane et Christian.
Lundi : la journée est très pluvieuse. Aussi nous allons grimper à la salle « Climb Up » de Bouc Bel Air. Niveau atteint en 6c+ en tête, joli. Lou, Fanny, Fabien, Dominique et Christian.
Lundi : soleil magnifique et grande voie en trad dans la Sainte Victoire avec enchaînement de la « Voie des Moussaillons », « L’Arête du Jardin », « Arête sud-ouest de la Croix de Provence ». Lou, Fanny, Fabien, Dominique et Christian.
 Menu haut site > Activités activites > Toute l'année toute-l-annee > Escalade escalade
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Du 28 au 30 octobre 2023
Groupe Promotion 04 Weekend grande voie.
Weekend très bien réussi malgré une météo très défavorable. C’est ce que l’on appelle passer entre les averses.
Nuits souvent pluvieuses, mais météo satisfaisante dans la journée permettant de réaliser de beaux projets.
Samedi : escalade au Don de l’Aigle pour Elise, Lou, Fanny, Fabien, Stéphane, et Dominique, dans « Lunathine », « Le Don de l’Aigle », « Les Bonnes Résolutions ».
Dimanche : Free Tibet au départ du Chalet de la Maline pour Lou, Fanny, Elise, Fabien et Dominique. Rando pour Stéphane et Christian.
Lundi : la journée est très pluvieuse. Aussi nous allons grimper à la salle « Climb Up » de Bouc Bel Air. Niveau atteint en 6c+ en tête, joli. Lou, Fanny, Fabien, Dominique et Christian.
Lundi : soleil magnifique et grande voie en trad dans la Sainte Victoire avec enchaînement de la « Voie des Moussaillons », « L’Arête du Jardin », « Arête sud-ouest de la Croix de Provence ». Lou, Fanny, Fabien, Dominique et Christian.
 
ALTA VIA DELLE BOCHETTE DOLOMITE DI BRENTA 2023
Le 18 Septembre 2023 par FANTINO Geneviève
Une magnifique semaine avec Michèle, Laurence, Marie Paule, et Geneviève, Jean Pierre, Geoffrey et Francis, notre guide « spirituel »
Le dimanche 3 septembre : Arrivée au CAMPING de la Madonna di Campiglio et installation du campement
Lundi 4 septembre : montée au refuge Graffer : 2261 m par un sentier bucolique, sous les mélèzes avec vue panoramique en arrière fond sur les sommets du Massif de la Brenta. Déjeuner sorti du sac au refuge puis mise en jambe l’après-midi sur la via ferrata surplombant le refuge.
Mardi 5 septembre : Traversée par la via ferrata Dallagiacoma et ensuite enchaînement par les vires du sentier Alfredo Benini de l’Alta via delle Bochette Arrivée au Refuge Tuckett.
Mercredi 6 septembre : direction le refuge Alimonta (2580 m). Nous empruntons la Via ferrata dei Bocchette Alte tout en flottant au-dessus des nuages. L’ambiance est magique mais la journée plutôt intense, le parcours est très long. On franchit des crêtes et des échelles impressionnantes au pied de la Cima Brenta, point culminant du massif !
Jeudi 7 septembre : Après une bonne nuit réparatrice, nous nous dirigeons vers le Refuge Pedrotti en empruntant la bocca du brenta à 2552 m. Après un bref passage sur un glacier, nous attaquons une via sportive, la via del bocchette centrali, toujours bien sécurisée mais sur des vires improbables et très étroites surplombant le vide. Là encore la vue est à couper le souffle sur le Campanile Basso, tour parfaite aux falaises abruptes (voir photos ????)
Vendredi 8 septembre : direction le refuge des 12 apôtres. Nous empruntons la via Brentari, le glacier d’Ambiez, puis la via Castiglion composée d’une longue succession d’échelles verticales sur une dénivelée de plus de 450 m, âmes sensibles au vertige s’abstenir (voir photos ????) !
Samedi 9 septembre : Retour à notre point de départ en passant par la brèche dei Camosci qui débouche sur le glacier de Carnesci (glacier très pentu). Après avoir franchi le glacier sans encombre en évitant de nombreuses chutes de pierres, nous suivons le sentiers Martinezzi pour rejoindre le refuge Brentei où nous déjeunons. On choisit ensuite de redescendre par le sentier des cascades. Sentier aménagé et parsemé de résurgences qui jaillissent au milieu d’une magnifique forêt de sapins.
Après une nuit de repos bien méritée au camping de la Madonna di Campiglio, retour au bercail. On peut le dire sans se vanter : une très belle réalisation pour ce groupe très motivé, mais il faut bien le dire éprouvé par la semaine. Un grand merci à notre organisateur qui nous a tous ramené en un seul morceau avec de beaux souvenirs pleins les bagages…
 Menu haut site > Activités activites > L'été activites-estivales > Via ferrata via-ferrata
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ALTA VIA DELLE BOCHETTE DOLOMITE DI BRENTA 2023
Le 18 Septembre 2023 par FANTINO Geneviève
Une magnifique semaine avec Michèle, Laurence, Marie Paule, et Geneviève, Jean Pierre, Geoffrey et Francis, notre guide « spirituel »
Le dimanche 3 septembre : Arrivée au CAMPING de la Madonna di Campiglio et installation du campement
Lundi 4 septembre : montée au refuge Graffer : 2261 m par un sentier bucolique, sous les mélèzes avec vue panoramique en arrière fond sur les sommets du Massif de la Brenta. Déjeuner sorti du sac au refuge puis mise en jambe l’après-midi sur la via ferrata surplombant le refuge.
Mardi 5 septembre : Traversée par la via ferrata Dallagiacoma et ensuite enchaînement par les vires du sentier Alfredo Benini de l’Alta via delle Bochette Arrivée au Refuge Tuckett.
Mercredi 6 septembre : direction le refuge Alimonta (2580 m). Nous empruntons la Via ferrata dei Bocchette Alte tout en flottant au-dessus des nuages. L’ambiance est magique mais la journée plutôt intense, le parcours est très long. On franchit des crêtes et des échelles impressionnantes au pied de la Cima Brenta, point culminant du massif !
Jeudi 7 septembre : Après une bonne nuit réparatrice, nous nous dirigeons vers le Refuge Pedrotti en empruntant la bocca du brenta à 2552 m. Après un bref passage sur un glacier, nous attaquons une via sportive, la via del bocchette centrali, toujours bien sécurisée mais sur des vires improbables et très étroites surplombant le vide. Là encore la vue est à couper le souffle sur le Campanile Basso, tour parfaite aux falaises abruptes (voir photos ????)
Vendredi 8 septembre : direction le refuge des 12 apôtres. Nous empruntons la via Brentari, le glacier d’Ambiez, puis la via Castiglion composée d’une longue succession d’échelles verticales sur une dénivelée de plus de 450 m, âmes sensibles au vertige s’abstenir (voir photos ????) !
Samedi 9 septembre : Retour à notre point de départ en passant par la brèche dei Camosci qui débouche sur le glacier de Carnesci (glacier très pentu). Après avoir franchi le glacier sans encombre en évitant de nombreuses chutes de pierres, nous suivons le sentiers Martinezzi pour rejoindre le refuge Brentei où nous déjeunons. On choisit ensuite de redescendre par le sentier des cascades. Sentier aménagé et parsemé de résurgences qui jaillissent au milieu d’une magnifique forêt de sapins.
Après une nuit de repos bien méritée au camping de la Madonna di Campiglio, retour au bercail. On peut le dire sans se vanter : une très belle réalisation pour ce groupe très motivé, mais il faut bien le dire éprouvé par la semaine. Un grand merci à notre organisateur qui nous a tous ramené en un seul morceau avec de beaux souvenirs pleins les bagages…
 
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